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Malgré les données montrant que le cancer est en passe de devenir la première cause de décès dans l'UE d'ici 2035, des signes encourageants apparaissent. Premier examen approfondi des comparaisons relatives au cancer depuis 2019, le nouveau rapport de l'Institut suédois d'économie de la santé (IHE) montre que le nombre de décès dus au cancer se stabilise.
La recherche montre que les taux de survie au cancer se sont améliorés dans toute l'Europe, mais que des disparités subsistent entre les pays, ainsi qu'entre les types de cancer. Plusieurs types de cancer ont désormais un taux de survie à cinq ans supérieur à 90 % dans les pays les plus performants, notamment le cancer du sein, de la prostate, des testicules et de la thyroïde, le mélanome et le lymphome de Hodgkin.
Toutefois, certains types de tumeurs solides (cancer de la vessie, du cerveau, gynécologique, du larynx) n'ont enregistré que peu ou pas d'amélioration.
Selon le rapport, près de 200 000 décès dus au cancer pourraient être évités chaque année si les 15 pays disposant de données sur la survie atteignaient les taux de survie de la Suède, le pays le plus performant d'Europe.